Point de désordre...

Tout est bien rangé dans la donation...

Classeurs, boites, carnets...

Il ne reste plus qu'à les ouvrir...

Pour découvrir...

« Le magazine Life consacre à Jacque Henri Lartigue un portfolio d’images de la Belle Epoque qui fait le tour du monde. » Textes de l'exposition La vie en couleurs...

«Toute sa vie, Lartigue a été collectionneur: collectionneur d’images, d’autographes, de conquêtes, de records... »

« Dans ses albums, on trouve des images de fleurs par centaines et parmi elles, le coquelicot qui ressemble fort à une obsession. »

« Collectionneur d’instants fugaces aussi, grâce à la photographie. »

« Dans les années soixante, c’est l’Amérique. Fasciné, il envisage de s’y installer. »

« L’Amérique le lui rendra bien: de passage à New York, Lartigue montre ses photos à John Szarkowski, jeune directeur de la photographie au Museum of Modern Art de New York, qui, enthousiasmé, programme une exposition l’année suivante. »

« A son grand étonnement, Lartigue le dilettante devient du jour au lendemain l’un des grands noms de la photographie du XXe siècle, lui qui se croyait peintre. »

« La première des obsessions s’appelle Florette. Présente sur presque toutes les images, celle qu’il nomme “ma petite fleur des champs” est la muse et le leitmotiv, durant quarante ans, de son œuvre couleur. »

« En plein hiver, à l’âge de 91 ans, il se lève à l’aube et réalise des photos de neige qui viennent s’ajouter au millier d’autres, collectionnées depuis l’enfance. »

Les boites dans lesquelles il conservait ses photos.

« Chaque saison l’inspire – “Peut-on rester insensible à l’harmonie des couleurs que nous offre la nature?” – d’autant qu’il vit la plupart du temps à la campagne. »

« Toute sa vie, Lartigue consigne quotidiennement la météo et la température dans son journal intime et griffonne en marge un soleil ou des nuages. »