Freeride World Tour
C’est la coupe du monde des skieurs de l’impossible. De Chamonix-Mont-Blanc en passant par les pentes de l’Alaska avant la finale fin mars à Verbier en Suisse, ces athlètes défient les pistes où nul n’ose s’aventurer.
Après plus d’une heure d’escalade, ils atteignent le sommet de « l’Aiguille Pourrie » pour dévaler à ski ou en surf cette face spectaculaire en sautant d’improbables barres rocheuses..
Fluidité, choix des lignes, maîtrise, sauts, technique et style sont les critères qui départagent ces skieurs des faces de l’extrême.
Retour en images sur la première étape de la saison le 24 janvier à Chamonix, Mecque de ces athlètes à la recherche de grands frissons.
Loin des pistes damées, les freeriders s’affrontent sur des pentes sauvages.
©Pierre René-Worms | RFI
7h15 : Aurélien Ducroz, double champion du monde s’apprête à monter dans le télécabine l’emmenant au pied de la pente.
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Concentration maximale avant de défier une pente vierge de toute trace.
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C’est l’hélicoptère qui dépose l’aire de départ au sommet de « L’Aiguille Pourrie ».
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La snowboardeuse franco-suisse Anne-Flore Marxer repère la face en compagnie d’Aurélien Ducroz.
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Plus d’une heure d’escalade avec le matériel pour atteindre le sommet.
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Un panorama de rêve pour les skieurs avant de s’élancer : la chaîne du Mont-Blanc.
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L’ombre du snowboarder canadien Jamie Rizzuto après un franchissement de barre.
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Le fan club du champion du monde français Loic Collomb-Patton avait fait le déplacement de La Clusaz.
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Malgré les précautions de sécurité maximale, les chutes ne sont pas rares.
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L’hélicoptère de la Sécurité Civile n’est jamais loin pour hélitreuiller un concurrent malheureux.
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Le champion du monde en titre Loic Collomb-Patton dans ses œuvres.
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Un « ride » parfait qui lui permet de prendre la première place.
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La fatigue d’Aurélien Ducroz qui n’aura pas retrouvé ses sensations pour ce retour à la compétition.
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Loïc Collomb-Patton prend la tête de la coupe du monde avant les étapes d’Andorre et d’Alaska précédant la finale de Verbier.
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C’est la mi-temps, les joueurs de l’équipe de France Espoirs marquent une pause et discutent tactique durant une opposition, à l’entraînement. Une cruelle désillusion les attend quelques jours plus tard en Suède.
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Il est 18h00 pétantes, les « A » arrivent en groupes séparés à l’entraînement. De gauche à droite : Gignac, Costil, Digne, Griezmann et Cabella. Au second plan : Rémy, Schneiderlin, Benzema, et Cabaye.
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Tous les Bleus commencent leur échauffement, à l’exception de Patrice Evra et d’Hugo Lloris, qui sont restés aux soins cet après-midi-là.
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Attentif au moindre détail, Didier Deschamps supervise la séance d’entraînement depuis le bord de touche. Sous sa direction, l’équipe de France a retrouvé confiance et sérénité.
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Petit souci pour Mathieu Valbuena qui doit changer de chaussures au milieu de l’entraînement. Devenu indispensable en sélection, il est désormais le Bleu le plus éloigné de la France depuis qu’il a rejoint le Dynamo Moscou.
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Karim Benzema quitte prématurément l’entraînement en raison d’une douleur aux adducteurs. Cela ne l’empêchera pas de briller, trois jours plus tard, face au Portugal avec un but et une passe décisive.
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Antoine Griezmann termine la séance d’entraînement par un but marqué à Steve Mandanda dans un angle difficile. Il fait partie des joueurs d’avenir chez les Bleus.
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